- Les grandes vacances c'est pour bientot et cela se fait ressentireau campus de l'UCAD qui se vide de ses étudiants. Eh oui!! plusieurs facultés ont terminé leurs examens et certains étudiants qui avaient logés au campus ne se font pas prier pour plier bagages. c'est le cas de cette jeune fille répondant au nom joséphine et étudiante en lettres modernes que nous avons rencontré devant la petite porte de l'Université. "je rentre aux parcelles assainies chez ma maman, la vie au campus est trés couteuse contrairement à ce que beaucoup pensent. De plus je ne vois pas pourquoi je resterai ici j'ai fini mes examens et les résultats sortent presque à la fin du mois. Mais il faut préciser que ce sont les étudiants qui habitent Dakar qui rejoignent leurs domiciles car ceux qui habitent les régions ne peuvent rentrer puis revenir à la sortie des résultats à cause de la distance mais aussi du coût du transport. ce que confirme El hadji Diallo, étudiant en droit:"j'habite à kolda,; je ne peux pas rentrer maintenant et revenir cela me coutera tro cher, je n'ai pas le choix je reste au campus et j'en profite pour reviser". Cependant il ya une autre catégorie d'étudiants qui restent au campus ni à cause de la chéreté de leur transport ni à cause de la distance. cette jeune fille interpellée à ce sujet nous dit que c'est parce que ces étudiants se sentent plus en liberté ici pour pouvoir faire ce qu'ils veulent sans le regard de leurs parents.
mercredi 1 juillet 2009
C'EST BIENTOT LES VACANCES A L'UCAD
EXAMENS DE FIN D'ANNEE A L'UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR
En cette période d'examens les révisions vont bon train à l'université cheikh anta diop. partout on peut aperçoit des étudiants un cahier ou un fascicile à la main;si certains choisissent les salles de cours pour réviser,d'autres préfèrent les va et vients incessants dans les couloirs.Tous les moyens sont bon pourvu qu'on assimile les cours et chose assez frappante ils y sont à n'imprte quelle heure de la journéé et même de la nuit. Les jours s’annoncent chargés et fatigants pour la majorité les étudiants.
ESPERONS QUE VOS REVISIONS VOUS SERVIRONT A QUELQUE CHOSE!!!!!
BONNE CHANCE CHERS ETUDIANTS!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ESPERONS QUE VOS REVISIONS VOUS SERVIRONT A QUELQUE CHOSE!!!!!
BONNE CHANCE CHERS ETUDIANTS!!!!!!!!!!!!!!!!!!
MON POINT DE VUE SUR LES LOIS DE LA SOCIETE DE LINFORMATION
je pense que ces lois viennentà point nommé car il permet de régulariser le net.Internet qui était censé apporter de bonnes choses au monde est devenu un outil dangeureux. cela à cause de l'utilisation qu'en font certaines parsonnes. des trafiqus des escroqueries des crimes nul ne peut affirmer utiliser cet outil sans courrir ces risques. ces lois sont les bienvenues elles permettront aux gens de garder leur données personnelles secrétes et de reduire surtout la cybercriminalité.
LA SECURITE A LUNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP
A l’université Cheikh Anta Diop un service de sécurité a été mis sur pied pour assurer la sécurité des biens et des personnes vivant au campus. Son siège au pavillon A, où nous sommes allés à la rencontre de Mr Bouna Fané, chef de la sécurité du Centre des Œuvres Universitaires de Dakar. Vers 17heures, après quelques minutes d’attente le chef de la sécurité du COUD accepte de nous recevoir dans son bureau pour une interview.
_Depuis quand la police du COUD a été mise sur pied ?
Disons depuis la création du COUD. Je ne me souviens pas de la date précise.
_Combien d’éléments compte ce service ?
Ca dépend, en général on compte environ 700 à 800 agents mais le nombre varie en fonction de l’année. Par exemple en début d’année l’effectif est plus consistant qu’en fin d’année où il n’y a pas beaucoup de monde au campus.
_Quel est son rôle ?
Son rôle est d’assurer la sécurité des biens et des personnes au sein du campus. Evidemment quand on parle de personnes, on fait allusion aux étudiants vivant au campus et aux autorités travaillant ici. Pour être plus précis c’est pour interdire à certaines personnes telles que les marchands ambulants les badauds par exemple l’accès au campus, afin de ne pas déranger la tranquillité des étudiants.
_Pensez-vous que vous êtes en train d’accomplir ce rôle comme il le faut ?
Dans la mesure du possible oui même si on rencontre d’énormes difficultés.
_Quelles genres de difficultés ?
Des difficultés liées à l’effectif et aux moyens qui nous font défaut. On ne dispose que d’environ 800 agents pour assurer la sécurité de milliers de personnes, de plus nous n’avons pas les moyens nécessaires pour assurer la sécurité de ces personnes. Nous sommes conscients que nous n’accomplissons pas notre rôle comme il le faut mais c’est indépendant de notre volonté. La volonté est là mais ce sont les moyens qui manquent.
_On a remarqué que désormais pour entrer au sein du campus il faut se munir de sa carte d’étudiant où d’une carte d’identité si on n’est pas étudiant. Depuis quand cette réforme a-t-elle été mise sur pied ?
Depuis le début de l’année 2008-2009, c’est pour filtrer en quelque sorte les entrées et sorties au campus mais aussi pour que les personnes ne vivant pas au campus soient conscients que la sécurité est de mise au campus.
_Ne rencontrez-vous pas parfois des problèmes avec ce contrôle ?
Si c’est toujours le cas autant avec les étudiants qu’avec les non étudiants. Mais c’est surtout au niveau des pavillons O P et Q les pavillons des filles que nous avons le plus de problèmes avec la visite des garçons qui est interdite à défaut de montrer sa carte au vigile. Très souvent ces vigiles ont des altercations avec ces garçons qui n’hésitent pas à les injurier.
_IL ya deux semaines de cela, lors d’un front qui a opposé les étudiants aux forces de l’ordre, ces derniers ont fait éruption au campus, sont entrées dans les pavillons N O et P et ont battus certains étudiants notamment des filles qui ne faisaient même pas partie du front. Ces forces de l’ordre avaient-ils l’autorisation d’entrer au campus ?et pourquoi n’avez-vous pas réagi vous qui dites protéger les étudiants vivants au campus ?
D’ abord a mon avis si le GMI est entré au campus c’est surement qu’il a du recevoir l’ordre de ses supérieurs, ensuite le front ne se déroule pas au campus ; c’est l’avenue Cheikh Anta Diop qui est barrée. Ce qu’il faut que vous sachiez, c’est que là ce n’est pas à nous d’intervenir nous ne sommes pas qualifiés pour cela c’est à la police que revient cette tâche ; c’est son rôle, de plus comme je vous l’ai dit tantôt, nous manquons cruellement de moyens, nous n’avons ni de masque contre les gaz lacrymogènes ni de casque pour les pierres c’est pourquoi dés que le front démarre les vigiles quittent leurs postes pour se mettre à l’abri. D’ailleurs un de nos vigiles est actuellement à l’hôpital principal de Dakar, il s’est blessé durant ce front et d’habitude ce n’est pas le COUD qui prend en charge les frais d’hospitalisation, ce n’est que récemment qu’il a commencé à le faire.
NDEYE KHADY NIANG BADJI
_Depuis quand la police du COUD a été mise sur pied ?
Disons depuis la création du COUD. Je ne me souviens pas de la date précise.
_Combien d’éléments compte ce service ?
Ca dépend, en général on compte environ 700 à 800 agents mais le nombre varie en fonction de l’année. Par exemple en début d’année l’effectif est plus consistant qu’en fin d’année où il n’y a pas beaucoup de monde au campus.
_Quel est son rôle ?
Son rôle est d’assurer la sécurité des biens et des personnes au sein du campus. Evidemment quand on parle de personnes, on fait allusion aux étudiants vivant au campus et aux autorités travaillant ici. Pour être plus précis c’est pour interdire à certaines personnes telles que les marchands ambulants les badauds par exemple l’accès au campus, afin de ne pas déranger la tranquillité des étudiants.
_Pensez-vous que vous êtes en train d’accomplir ce rôle comme il le faut ?
Dans la mesure du possible oui même si on rencontre d’énormes difficultés.
_Quelles genres de difficultés ?
Des difficultés liées à l’effectif et aux moyens qui nous font défaut. On ne dispose que d’environ 800 agents pour assurer la sécurité de milliers de personnes, de plus nous n’avons pas les moyens nécessaires pour assurer la sécurité de ces personnes. Nous sommes conscients que nous n’accomplissons pas notre rôle comme il le faut mais c’est indépendant de notre volonté. La volonté est là mais ce sont les moyens qui manquent.
_On a remarqué que désormais pour entrer au sein du campus il faut se munir de sa carte d’étudiant où d’une carte d’identité si on n’est pas étudiant. Depuis quand cette réforme a-t-elle été mise sur pied ?
Depuis le début de l’année 2008-2009, c’est pour filtrer en quelque sorte les entrées et sorties au campus mais aussi pour que les personnes ne vivant pas au campus soient conscients que la sécurité est de mise au campus.
_Ne rencontrez-vous pas parfois des problèmes avec ce contrôle ?
Si c’est toujours le cas autant avec les étudiants qu’avec les non étudiants. Mais c’est surtout au niveau des pavillons O P et Q les pavillons des filles que nous avons le plus de problèmes avec la visite des garçons qui est interdite à défaut de montrer sa carte au vigile. Très souvent ces vigiles ont des altercations avec ces garçons qui n’hésitent pas à les injurier.
_IL ya deux semaines de cela, lors d’un front qui a opposé les étudiants aux forces de l’ordre, ces derniers ont fait éruption au campus, sont entrées dans les pavillons N O et P et ont battus certains étudiants notamment des filles qui ne faisaient même pas partie du front. Ces forces de l’ordre avaient-ils l’autorisation d’entrer au campus ?et pourquoi n’avez-vous pas réagi vous qui dites protéger les étudiants vivants au campus ?
D’ abord a mon avis si le GMI est entré au campus c’est surement qu’il a du recevoir l’ordre de ses supérieurs, ensuite le front ne se déroule pas au campus ; c’est l’avenue Cheikh Anta Diop qui est barrée. Ce qu’il faut que vous sachiez, c’est que là ce n’est pas à nous d’intervenir nous ne sommes pas qualifiés pour cela c’est à la police que revient cette tâche ; c’est son rôle, de plus comme je vous l’ai dit tantôt, nous manquons cruellement de moyens, nous n’avons ni de masque contre les gaz lacrymogènes ni de casque pour les pierres c’est pourquoi dés que le front démarre les vigiles quittent leurs postes pour se mettre à l’abri. D’ailleurs un de nos vigiles est actuellement à l’hôpital principal de Dakar, il s’est blessé durant ce front et d’habitude ce n’est pas le COUD qui prend en charge les frais d’hospitalisation, ce n’est que récemment qu’il a commencé à le faire.
NDEYE KHADY NIANG BADJI
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